Un de mes plus gros freins dans la vie, qui fait que je ne suis peut-être pas là où j’aurais dû en être si j’avais été moins encombrée, c’est mon incessant besoin de me comparer à tout le monde.
Je passe mon temps à regarder ce que font mes voisins, mes pairs, mes adversaires, mes ami-e-s et à tout rapporter à mon parcours personnel. Comme si chaque parcours était clonable à l’infini et qu’il existait un nombre limité de modèles parfaits, et que ces gens là n’avaient absolument aucun problème dans la vie.
Mais c’est bien connu, l’herbe est toujours plus verte ailleurs.